Exemple de grain de sable, la maison des enseignements dont les fenêtres donnaient sur le bâtiment C. Impossible selon les règles de l'urbanisme ! L'architecte, qui ne les connaissait pas, a du refaire son plan : deux mois de perdus, ce qui amène à l'été, les personnels ne seront pas là, et toc, encore deux mois, et ce sera pour septembre. La maison des syndicats, qui est dans le même lot, suivra le tempo, on nous avait pourtant assuré la main sur le coeur, qu’elle serait disponible en avril 2000. Inévitablement la troisième tranche de travaux de désamiantage suit le mouvement !

Exemple de mauvaise volonté : il aura fallu un an de discussions pour organiser le déménagement des matheux à Chevaleret.

C'est derrière ces difficultés que s'abrite l'EPCJ, qui fait ce qu'il peut dans un monde hostile et cruel ! Cela ne nous satisfait pas.

Voici les réponses faites à Sud Education :

Démontage et remontage de la façade : l'architecture d'Albert est conservée pour les rotondes, mais pas pour les façades avancées au delà des piliers (qui n’ont donc plus à être recouvert d’une peinture intumescente à entretenir, et peuvent être encoffrés). Décision remontée devant le directeur du patrimoine : gros débat si concours d'architecte ou non, donc 3 mois pour décider.

*Les 3 barres : 66-56, 56-55, 56-46 (deuxième tranche)

Retard du à un appel d'offre infructueux, l’entreprise mieux-disante n’étant pas sérieuse. Le plan de retrait de l'amiante est à l’analyse par l'inspecteur du travail. Le chantier devait commencer la semaine du 22/2. Fin du chantier, fin 2001

-La passerelle est déplacée.

-Des arbres seront coupés sur la rue pour installer la tour d'évacuation.

*Les 4 autres barres 65-55, 55-45, 45-46, 46-0 (troisième tranche)

Mise en chantier fin 2000 ; fin du chantier, fin 2002.

*Suite : 0-26, 26-16, 26-25 (Sciences de la Terre P6)

Le concours de maître d'oeuvre est lancé dès maintenant, uniquement pour le désamiantage.

Démarrage, début 2002 (sur les 5 barres de la géologie, ou sur les 3 + les 2 barres 32-22, 32-33). Mais la suite du chantier est compliquée. Fin des opérations début 2004.

Pour la réhabilitation il doit y avoir un programme, c'est à dire un plan de réoccupation. Tant que Dizambourg ne sait pas qui revient où , on ne peut pas réhabiliter.

* Psycho s’installe à Saint Lazare (avril 2000)

L'appel d'offre n'est pas terminé (attente d'avis de commissions diverses).

Il y a 17 salles de cours à trouver : la solution est l'Ecole d'architecture : le bail est signé en décembre (20 millions de travaux, 6000 m² pour des salles de cours et bureaux).

GHSS (P7) y emménage en sept-octobre (2000m²).

Les 4 amphis 65-55-45 seront fermés : il y a 6 mois sans solution ( !), jusqu’à l’achèvement d’Esclangon.

Ils s’installeraient rue Watt (près de la ZAC Tolbiac) : 4000m².

Il y aura donc des "trous" en 34-44 et 34-24.

Pour libérer de la place Dizambourg cherche vers Gare de Lyon, Austerlitz (St Maclou), et déplore que Scott reste vide après le départ des informaticiens.

Les 2 universités se trouveront ainsi dispersées aux alentours ou plus loin sur " n " sites.

Esclangon ne peut être consacré aux informaticiens. Il les met à la place des géologues (c'est à dire en 2004 ?), ces derniers iront dans la 2^ème tranche libérée en 2002 (10 000m²).

-L' IPSL irait vers Scott avant d'aller en 46.

-Le déménagement de l'IPGP (6000m²) sur l'îlot Cuvier (au moins 12000m²) est inscrit dans U3M (le contrat de plan Etat-Région a depuis été signé, le 3 mars). Dizambourg pour l'instant ne dit rien, sinon que P6 tient à ce que l'IPGP reste dans le coin ; il est principalement préoccupé par le relogement des 10 logements de fonction.

-Il tient aussi (beaucoup !) à la présence d'un centre de loisirs sur le campus, peut-être même avant la fin du chantier.

A la fin des opérations, après le départ d’une partie de P7 (dont certaines composantes resteraient sur le campus), après l’arrivée de l'ENSCP, l'INETOP et de la partie scientifique de l'IUFM, il resterait de l’ordre de 15000m² de marge. A quoi les attribuer ?

Les films de protection sont prévus pour 5 ans, il va faire revoir les plafonds, mais les taux de fibres mesurés sont bons ...

Budget de l'EPCJ : 450 millions, il a de la marge. Mais il veut avoir la certitude d'employer l'argent pour des locaux réellement occupés (Scott, personne ne veut y aller). Les problèmes d'éloignement du campus n'en sont pas pour lui.

Parachèvement : seule possibilité envisagée, la construction d'un bâtiment pour une bibliothèque centrale remplaçant les bibliothèques spécialisées.

Sud Education Jussieu, 45-55, 218 (local provisoire)

Réunions les vendredis, à 12 h 30